15 août 2013

les hommes incompréhensibles

Je me dis chaque jour que j'aurais pu mourir, chaque journée apportant assez de connaissances et de révélations pour mourir la nuit dans un sommeil volubile. Mais ressuscitant invariablement, je n'ai pas encore assez vécu. Chaque douleur m'éloigne de moi. Il faudrait cesser d'attendre sans cesse ce qui n'apparait sans attente.

Je ne comprendrais jamais.
Pars mon ours, mais je ne t'attendrais pas dans ta fuite.
Si tu pars tu me perds.

1 commentaire:

  1. Coucou ! J'ai vu dans mes statistiques que j'avais des visites qui venaient d'ici... Je voulais te remercier pour le petit lien que tu m'as fait. Tu aurais dû prévenir, je t'aurais remerciée avant !
    Bisous, à bientôt :)

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